Camarinas aura été pour nous une escale plus longue qu'habituellement, mais oh combien riche en rencontres !

Plus longue car nous attendions une fenêtre suffisamment correcte pour franchir le cap Finisterre, lequel n'a posé aucun souci particulier d'ailleurs puisque on a eu de la pétole arrivé à sa hauteur.

 

Camarinas est une petite ville toute mignonne (je n'ai pas retrouvé pourtant de similitudes avec notre Camaret breton), elle est plus sauvage, au bord de la fameuse "côte de la mort" (...). Les habitants sont très fiers de leur ville, réputée pour être aussi la capitale de la dentelle que l'on retrouve un peu partout.

 

C'est durant cette escale que j'ai perfectionné mon espagnol, il n'y a vraiment rien de tel que de communiquer et d'échanger au quotidien avec des gens d'ici, ça change des petits bouts de phrase tout faits usuels !

 

On a donc fait la connaissance (par hasard en faisant nos emplettes à la boucherie du coin) avec une adorable famille de commerçants : Francisco, sa femme Pilar et leur fils Yvan, avec qui le contact est super bien passé d'entrée, et qui nous ont tout de suite proposé de visiter avec eux quelques sites, nous narrant les légendes d'ici, prenant la peine de nous expliquer tout un tas de choses et avec une infinie patience quant à mon espagnol quand même limité ! C'est pour dire, même William comprenait Francisco qui parlait à grand renfort de pédagogie gestuelle carrément imagée !! On a énormément rit et on a donc réussi à faire plus ample connaissance en passant pas mal de temps à leur contact. C'était d'autant plus difficile de repartir, on était tout stones après leur avoir dit au-revoir. Ils nous ont tant couvert de cadeaux que s'en était gênant ... : nous avions très envie d'acheter du "pulpo", délicieuse pieuvre mais assez chère, le lendemain ils nous en avaient dégottés deux bien frais, vidés devant nous !! Et ainsi avant de partir ils nous ont rempli de force notre petite glacière d'une multitude de délicieuses viandes, côtes, saucisses, brochettes, chorizo (soigneusement pendu dans la cambuse, trop classe !!), pommes de terre du jardin, piment doux, piment fort ... !! On se serait cru à Noël avec une telle abondance !!

 

Tout celà pour raconter qu'il n'y a vraiment rien de tel que ces belles rencontres empreintes d'amitié, de gentillesse naturelle et tellement spontanée, qui font d'office oublier tous les soucis futiles et abjects laissés derrière nous, c'est magique. Il n'y a vraiment qu'à travers un tel voyage que l'on peut aller à la rencontre et à la découverte des autres, c'est tellement plus enrichissant que cette société du "chacun pour soi" qui arrive malgré tout à gangrainer ...

 

Donc à tous ceux qui souhaitent faire escale à Camarinas, ne la quittez surtout pas sans avoir fait un détour dans cette "carneceria" saluer Francisco, Pilar et Yvan de notre part, dont la chaleur de l'accueil n'a d'égal que leurs excellents produits !

 

 

PETITE TRADUCTION COMME PROMIS !

 

Tentativa de traducción como prometido (perdoname para las faltas de ortografías ¡

 

Francisco, Pilar y Yvan, estamos muy encantado conocer vosotros. Vaís a faltarnos mucho pero nunca vamos a olvidarvos.

 

En el texto de arriba, conto nuestra escala en vuestra bonita ciudad, y de la feliz de conocerse ¡

 

Conto que gracias a vosotros he mejorado mi español (o catalán ¿) fuerza de hablar, escuchar ; y aunque William no lo entendía todo,nunca había problemo gracias a Francisco con sús gestos con muchas de imagen ¡ Y gracías tambien a sus paciencia ¡

 

Conto que hemos dar paseos, que hemos visitado con vosotros vuestra región, que vosotros hemos racontado las historías de aquí como el naufragio del navío ínglès, del origen del nombre "Costa del Muerte" (y comó tambíen la de la vaca "MOA ¡¡" pero no la raconto arriba ¡) (tambíen William tenía mucha satisfaccíon de entender antes de yo el sentido de la historía ¡¡).

 

Era difficíl separarse y seguir nuestro camino, fuimos trise por la noche y yo fuí perturbada el día despues tan que siguo de no querer entrar en una otra carnecería ¡...

 

Conto tambien que antes de marchar fuímos abrigado de tan regalos que creíamos fuera Navidad ¡

A proposito, hemos cocido los pulpos, eran deliciosos, pero no hemos completamente entendido porque necesita salirlos de la agua seís veces durante su cocina ¿¡

 

Estubieramos muy feliz pasar tiempo con vosotros tan buenos y agradable. Gracia a este tipo de viaje estas encuentras son posible y es tan importante en este sociedad cuyo mentalidad es "cada uno por sí mismo".

 

Y acabo diciendo a todos y a los futuros viajeros que conocemos que si vienen un día a Camariñas, no deben marchar sín venir en vuestra carnecería para saludar nuestros amigos Francisco, Pilar y Yvan, cuyo la calor (o fervor ¿) de la recepción es igual que suyos excelencia productos.

 

Os desamos muchas bonitas cosas para la continuacion

 

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